* 8/11/14 : Création d'une fresque à la
médiathèque de Fontenay-les-Briis.
Un travail artistique original autour du thème de la
lecture.
La médiathèque de Fontenay-les-Briis
a mis en place samedi 8 novembre un atelier artistique dont
l'objectif était de créer un fresque dans son local . « L'idée
était de faire le lien avec l'activité de lecture propre à ce
service public » explique Sébastien Mercier , alias « Bus »
, artiste peintre de la commune chargé d'animer l'atelier.
« La fresque reflètera le thème de l'identité du lecteur:
que lui apporte la lecture , quels sentiments ou sensations lui
procure-t-elle ? » Une dizaine d'enfants
Séance photo à la médiathèque en vue du projet.
devaient travailler au projet tous les samedis de novembre avec Bus. Chacun élaborerait son panneau : y figurerait sa propre silhouette dans une posture de lecteur ; un collage de textes et d'images découpés dans des vieux livres donnés à la médiathèque entourerait cette silhouette. Le 8 novembre une photo a été prise de chaque enfant ; elle devait être projetée sur un carton par video projecteur , et l'artiste en herbe découperait la silhouette obtenue pour la placer ensuite dans la future fresque.
JMS
*Voir aussi notre article dans LE REPUBLICAIN du 13 novembre.
* 8/11/14 : la soirée celtique de l'association Animusic au Foyer rural de GOMETZ-LA-VILLE..
Simples monstres de foire ou « chaînon manquant » ?
«Le poil monstrueux: femme à barbe ou homme chien » : qu'est ce qui a bien pu pousser un sérieux professeur honoraire de l'Université Paris VIII à s'intéresser à un tel sujet ? « J'aime prendre des sujets curieux, un peu « limites » , et étudier quelles représentations du corps se cachent derrière », explique Jacky Gélis , qui proposait une conférence sur le sujet samedi 22 novembre au siège de la Communauté de communes, à la demande de l'office du tourisme du pays de Limours. Plusieurs cas historiques de ces victimes d'un dérèglement hormonal héréditaire (l'hypertrichose), source de pilosité monstrueuse, ont été évoqués. Curiosités des cours de la Renaissance à l'égal des nains, ils ont souvent été transformés au XIXe en bêtes de foire dont on tire argent. Symbole de force et de virilité , le poil abondant a aussi renvoyé à l'animalité et à l'ambiguité sexuelle. Certains savants "darwiniens" ont même cru que ces individus incarnaient le « chaînon manquant » entre singe et homme !
DES IMAGES DE LA CONFERENCE :
Quelques images de sujets à pilosité monstrueuse ont été projetées.
Portrait d'Antonietta Gonsalvus , "la fille à tête de chat" âgée de 11 à 13 ans , peint à Parme en 1585 par Lavinia Fontana, Musée de Blois.
Son père , né à Ténérife , était atteint de la même pilosité , mais sa mère était normale. Elle grandit à la cour d'Henri II à Fontainebleau , et était toujours vêtue de riches habits comme on le voit ci-dessus.
Ces personnages étaient souvent aussi très cultivés , nonobstant l'animalité de leur apparence.
Avoir dans sa cour une telle créature , comme avoir un nain, était très prisé à la Renaissance.
Cette peinture représente Magdalena Ventura avec son mari et son fils, une oeuvre du peintre espagnol Jusepe Ribera datant de 1631.
Magdalena Ventura d'origine napolitaine se vit pousser une barbe à l'âge de 37 ans. Quinze ans plus tard cette femme et son mari mirent au monde un enfant qu 'elle tient dans ses bras.
N'était le sein qui dépasse , et les vêtements , elle a tout l'air d'un homme.
Regards croisés sur LE PRIX DE DIANE, une course hippique de Chantilly.
Séance photo à la médiathèque en vue du projet.
devaient travailler au projet tous les samedis de novembre avec Bus. Chacun élaborerait son panneau : y figurerait sa propre silhouette dans une posture de lecteur ; un collage de textes et d'images découpés dans des vieux livres donnés à la médiathèque entourerait cette silhouette. Le 8 novembre une photo a été prise de chaque enfant ; elle devait être projetée sur un carton par video projecteur , et l'artiste en herbe découperait la silhouette obtenue pour la placer ensuite dans la future fresque.
JMS
*Voir aussi notre article dans LE REPUBLICAIN du 13 novembre.
* 8/11/14 : la soirée celtique de l'association Animusic au Foyer rural de GOMETZ-LA-VILLE..
Une soirée pleine d'entrain.
Une belle ambiance a régné samedi 8
novembre au Foyer rural, lors de la soirée celtique organisée par
l'association Animusic. Sur la scène, alternaient musique et moments
de contes, celtiques bien sûr ! Le duo de musique celtique
Mille Sabords , de Dourdan , assurait l'animation musicale, avec le
groupe Morrigan's de Philippe Dumont, qui a aussi enfilé le
costume de conteur. Dans la salle, environ 90 personnes étaient
attablées pour le repas - crèpes - de vraies crèpes bretonnes
conçues par Karine avec la participation des Farfadets d'Animusic ;
de temps à autre, on se levait pour former une farandole endiablée .
Les enfants, dûment grimés par l'atelier maquillage, se sont aussi
bien amusés.
DES IMAGES DE LA SOIREE :
Repas - crèpes et concert celtique...
Une salle bien remplie...
Les enfants dûment maquillés écoutent Philippe Dumont leur conter une histoire celte.
Mille Sabord et le groupe Morrigan's , avec sa chanteuse Ariane, jouent ensemble.
Et c'est parti pour la farandole!
*Voir aussi notre article dans LE REPUBLICAIN du 13 novembre.
* 15/11/14 : une exposition sur Madagascar à la mairie
de Villebon.
Une semaine à l'heure malgache.
Une exposition sur Madagascar a été visible une semaine dans la salle des mariages de la mairie de
Villebon. Elle a été organisée par l'association malgache Masova à
l'occasion de son 10e anniversaire , avec le soutien de la
municipalité et de diverses autres associations. « Le but est
de faire découvrir les paysages, le cadre de vie, et les traditions
de l'île » explique Georges Safeno , le fondateur de Masova.
Une série de photographies présentait les premières peintures
rupestres de Madagascar. Divers tableaux d'artistes locaux permettaient
de découvrir l'île. 4 grands panneaux informatifs prêtés par le
département Unesco de l'île renseignaient sur ses coutumes notamment
funéraires . Le maire, Dominique Fontenaille, a inauguré
l'exposition samedi 15 novembre. Le groupe de Toto Mwandjani assurait
l'ambiance musicale. Ce vernissage lançait aussi une semaine d'animation
à Villebon autour de Madagascar. Les fonds recueillis par Masova à cette occasion servent à
réhabiliter les salles du lycée de Tamatave.
JMS
DES IMAGES :
Georges SAFENO , président et fondateur de Masova , commente l'exposition pour les visiteurs.
Toto Mwandjani et sa chanteuse assurent l'ambiance musicale.
L'inauguration par le maire Dominique Fontenaille.
*Voir aussi notre article dans LE REPUBLICAIN du 20/11/14.
* 22/11/14 : IGNY : une plantation
participative de haie bocagère.
Recréer de la biodiversité avec les
habitants.
La Maison de l'Environnement mobile de
la Caps (Communauté d'Agglomération du pays de Saclay) s'installe un temps dans chaque commune du territoire. Du 14
au 26 novembre , elle était à Igny pour y mener des actions de
sensibilisation sur le thème de la biodiversité. Cela concerne
aussi bien les enfants des écoles, sous forme ludique, que les
adultes. Le samedi 22 novembre, elle était associée à la mise en
place d'un premier atelier de plantation de haie bocagère , proposé
par l'association « Haie magique » de Massy avec l'appui
de la municipalité. L'espace à planter se situait aux abords de
l'école JB Corot. « Il s'agit non d'une plantation purement
décorative traditionnelle , mais d'installer en ville des
écosystèmes , caractérisés par la biodiversité , qui
reproduisent l'écosystème de la forêt » explique Laurent
Samuel, le responsable de l'association. 300 plants représentant 25
espèces différentes devaient être installés au fil de la journée
par des bénévoles de l'association et des habitants d'Igny. Parmi eux, des pruniers, des poiriers, des pommiers , des baies diverses... "J'aime que les gens puissent cueillir et manger les fruits des plantations" dit l'animateur. L'association tient beaucoup à l' aspect participatif du projet : « On
veut que les gens mettent la main dans la terre » insiste-t-il. Le contrat passé avec la mairie prévoit un petit entretien du site , mais là encore Laurent Samuel compte sur une certaine implication de la population. Deux autres plantations de ce type sont prévues sur
la commune, qu'on se le dise!
Tous renseignements sur : www.haie-magique.org
DES IMAGES :
Devant la maison de l'environnement mobile : au centre , Céline Lacaze , l'animatrice de la structure.
Les responsables lancent le chantier. A droite, Laurent Samuel.
Les bénévoles au travail.
*Voir aussi notre article dans LE REPUBLICAIN du 27/11/14.
*22/11/12 : FEMMES A BARBE OU HOMMES CHIEN : une CONFERENCE insolite à BRIIS SOUS FORGES :
Simples monstres de foire ou « chaînon manquant » ?
«Le poil monstrueux: femme à barbe ou homme chien » : qu'est ce qui a bien pu pousser un sérieux professeur honoraire de l'Université Paris VIII à s'intéresser à un tel sujet ? « J'aime prendre des sujets curieux, un peu « limites » , et étudier quelles représentations du corps se cachent derrière », explique Jacky Gélis , qui proposait une conférence sur le sujet samedi 22 novembre au siège de la Communauté de communes, à la demande de l'office du tourisme du pays de Limours. Plusieurs cas historiques de ces victimes d'un dérèglement hormonal héréditaire (l'hypertrichose), source de pilosité monstrueuse, ont été évoqués. Curiosités des cours de la Renaissance à l'égal des nains, ils ont souvent été transformés au XIXe en bêtes de foire dont on tire argent. Symbole de force et de virilité , le poil abondant a aussi renvoyé à l'animalité et à l'ambiguité sexuelle. Certains savants "darwiniens" ont même cru que ces individus incarnaient le « chaînon manquant » entre singe et homme !
DES IMAGES DE LA CONFERENCE :
Jacky Gélis et Annie Jacquet (directrice de l'Office de tourisme du Pays de Limours) pendant la conférence.
Portrait d'Antonietta Gonsalvus , "la fille à tête de chat" âgée de 11 à 13 ans , peint à Parme en 1585 par Lavinia Fontana, Musée de Blois.
Son père , né à Ténérife , était atteint de la même pilosité , mais sa mère était normale. Elle grandit à la cour d'Henri II à Fontainebleau , et était toujours vêtue de riches habits comme on le voit ci-dessus.
Ces personnages étaient souvent aussi très cultivés , nonobstant l'animalité de leur apparence.
Avoir dans sa cour une telle créature , comme avoir un nain, était très prisé à la Renaissance.
Cette peinture représente Magdalena Ventura avec son mari et son fils, une oeuvre du peintre espagnol Jusepe Ribera datant de 1631.
Magdalena Ventura d'origine napolitaine se vit pousser une barbe à l'âge de 37 ans. Quinze ans plus tard cette femme et son mari mirent au monde un enfant qu 'elle tient dans ses bras.
N'était le sein qui dépasse , et les vêtements , elle a tout l'air d'un homme.
KRAO , le "chaînon manquant" de la théorie Darwinienne , telle est la présentation qui est faite de cette petite fille , pour attirer les curieux (fin XIXe).
Julia Pastrana , "la femme singe" , outre sa pilosité , avait en effet un visage simisesque. Elle dansait et chantait à merveille. Son époux-manager , qui l'exploitait, lui fit un enfant également atteint d' hypertrichose , mais qui meurt à la naissance , suivi de sa mère 5 jours plus tard. Le mari fait naturaliser les cadavres , en fait une attraction à un shilling l'entrée et fait fortune... Puis il les loue à un musée de curiosités. Le cadavre embaumé de Julia, un moment volé, se retrouve à l'université d' Oslo , qui en 2013 le rendra à son Mexique natal pour y être enterré.
Il existe même une vierge barbue , sainte Wilgeforte , à Wissant , étape de pèlerinage entre l'Angleterre et le continent. Des légendes s'y attachent , telles que celles -ci :
Vers le milieu du XIe siècle, une jeune princesse, fille d’un roi de Sicile est contrainte par son père d’épouser le roi du Portugal avec qui il est en guerre. Ce mariage, habile moyen de faire la paix, est contraire au vœu de virginité que la jeune fille a fait à Dieu. Désespérée, elle demande à Dieu qu’il la fasse devenir la plus laide possible. Elle est exaucée, une épaisse barbe lui pousse au menton, contribuant ainsi à ce que le prétendant abandonne ses projets. Le mariage échoue ainsi et son père, furieux la fait crucifier .
Une autre légende veut que la jeune fille soit l’objet, durant une guerre, d’une tentative de viol par des soldats ivres. Pour se défendre, elle invoque la protection divine. Immédiatement une forte barbe lui recouvre le visage, ce qui met en fuite les soldats. Le nom de Wilgeforte, c’est-à-dire la « vierge forte », viendrait de ces faits.
Ces légendes permettent sans doute de se rassurer en évacuant l'hypothèse d'une pilosité morbide...
* Voir aussi notre article dans Le Républicain du 27/11/14.
*29/11/14 : GOMETZ LA VILLE : la soirée
"Contes dans l'esprit de Noël" de l'association ANIMUSIC .
Comme dans les veillées d'autrefois.
« Il s'agit, comme dans les
veillées au coin du feu d'autrefois , de se conter des histoires ,
sans chichis » avait déclaré d'emblée Geneviève Dumont .
Samedi 29 novembre , au foyer rural de Gometz-la-Ville , enfants et
ados de la troupe des Farfadets d'Animusic se sont succédé sur la
scène. Les plus grands ont conté, et même joué, des histoires en
rapport avec Noël. Les petits, qui étaient un peu le public des
contes , ont aussi entonné deux chants de Noël accompagnés à la
flûte par Philippe Dumont. Des adultes sont aussi intervenus :
Madeleine qui a dit un conte de sa façon, et Catherine qui a lu deux
textes d'Elda Van Kerssenbrock, poétesse de Limours; Philippe, lui, a revisité à sa façon l'histoire du petit Poucet. A la clé, un
goûter était offert par Animusic.
*Voir aussi notre article dans LE REPUBLICAIN du
DES IMAGES.
Geneviève Dumont , l'animatrice des Farfadets, présente la soirée.
Les préados s'y mettent.
Les ados content , les petits sont leur premier public.
Un petit air de flûte, avec Philippe Dumont.
Les petits chantent, accompagnés à la flûte par Philippe Dumont.
Catherine a lu deux textes d'Elda Van Kerssenbrock, poétesse de Limours.
Un conte de Noël , avec les rois mages.
Madeleine a dit un conte de sa façon.
*Sur Geneviève Dumont , voir notre article :
A plus de 80 ans , une passion intacte! Portrait d'une animatrice.http://jmsattoblogazettedesulis.blogspot.com/2012/04/portrait-genevieve-dumont-80-ans-une.html
* 6/12/14 : Gometz la Ville : soirée musicale
au profit du téléthon , avec l'ensemble musical AFREUBO.
Samedi 6 décembre, la mairie de Gometz
la Ville a organisé dans l'église St Germain un concert , avec le
concours de l'Afreubo (Association Filharmonique des Résidents et
Etudiants des Ulis,de Bures et d'Orsay) . Cette formation,
fondée en 1966 par 14 étudiants d'Orsay, compte maintenant une
centaine de musiciens de tous âges. Il ont interprété dans la
bonne humeur (leur marque de fabrique) des musiques de dessins animés
et de films , en présentant au fil de la soirée les instruments
qu'ils utilisent, et dont la variété étonne. Des dons au profit du
téléthon ont été recueillis grâce à un petit stand installé à
l'extérieur.
L'orchestre jouait avec entrain sous la direction de Victor Balédent.
Le jeune chef d'orchestre a également présenté les instruments au fil de la soirée.
Flûtistes.
Trombones.
Flûte de Pan.
Le plus gros instrument de l'orchestre!
*Voir aussi notre article dans LE REPUBLICAIN du 10/12/14.
LES AFREUBOS AUX VOEUX DU MAIRE DE GOMETZ (17/1/14) :
Une délégation de ce groupe plein de fantaisie était au foyer rural en préambule à la cérémonie des vœux de Bernard Jacquemard , le maire de Gometz-la-Ville: ils s'étaient couverts le chef de drôles de chapeaux! A part cela ils ont été brillants une fois de plus.
Ni affreux, ni spécialement beaux les afreubos, simplement BONS!
* FIERS D'ETRE HOCKEYEURS !
Lors d'une portes ouvertes au gymnase intercommunal de Briis-sous-Forges , les petits hockeyeurs du club du trèfle de Fontenay-les-Briis ont pu montrer leur savoir-faire à leurs parents et à leurs copains. Et certains sont déjà parvenus à un haut niveau!
Officiellement fondé en 2008 , le
hockey club du Trèfle de Fontenay-les-Briis compte 5O adhérents
âgés de 7 à 55 ans.Samedi 20 décembre, il proposait une opération
Portes ouvertes au gymnase intercommunal de Briis sous Forges. « Le
mot d'ordre était « amène ta famille, amène tes copains »
explique Nicky Schmidt , responsable du club. « Peut-être
cela amènera-t-il à terme des adhésions nouvelles » ajoute
-t-elle « Mais l'essentiel est la fierté qu'ont nos jeunes à
montrer le sport à leurs amis ».Des matches parents contre
enfants , ou faisant participer les copains, se sont succédé.
Après une rencontre amicale parents-enfants.
Le
club a la satisfaction de voir pour la première fois un de leurs
garçons, Dorian, accepté dans l'équipe régionale
d'Ile-de-France ; il en est de même pour deux filles :« mais
cela, ce n'est pas nouveau » indique Nicky . Ils
ont donc défendu la région à Chartres fin décembre.
Dorian est devenu champion de France, Emily et Julie vice-championnes.
Et ils se sont fort bien défendus : l'équipe d'Ile-de France, où était Dorian, est devenue championne de France pour la première fois depuis 9 ans; et l'équipe des filles a terminé 2e derrière le Nord-Pas de Calais!
Fiers, oui, ils ont de quoi l'être, les entraîneurs comme les élèves!
L'espoir du
club ? Parvenir en finale des championnats de France des clubs
des moins de 14 ans filles en février prochain.
JMS
JMS
*Voir aussi notre article dans LE REPUBLICAIN du 24/12/14
* Exposition à la MJC de Palaiseau
organisée par le club photo.
Regards croisés sur LE PRIX DE DIANE, une course hippique de Chantilly.
Chaque année, le club photo de la MJC
de Palaiseau organise une sortie de ses membres. Le 15 juin dernier,
le choix s'était porté sur Chantilly : on assisterait au prix
de Diane. Déguisements ad hoc recommandés. Le résultat
photographique de cette
virée a été présenté dans deux
salles de la MJC du
Autour d'Olivier Corson (3e en partant de la gauche) , quelques auteurs des photographies présentées.
6 au 31 janvier. Une trentaine des 70 membres que
compte le club y présentait ses clichés, à 80°/° numériques, mais
l'argentique gardait sa place. « La consigne était ...
qu'il n'y avait pas de consigne », a expliqué Olivier
Corson,l'animateur du club. « Chacun était libre d'avoir son
propre regard sur
l'événement, en fonction de sa propre
sensibilité ». La conséquence : une grande variété
dans les sujets, les formats, les cadrages, le traitement des images.
Mais l'ensemble reflète assez bien les diverses facettes de
l'événement. De belles images à voir sans faute.
NB: le club photo dispose de plusieurs lieux simultanés pour des expositions notamment de certains de ses membres à Palaiseau , voici ce qu'on peut y voir actuellement:
* Pour en savoir plus sur le club photo, voir leur site: www.photoclubpalaiseau.free.fr
*Voir aussi notre article dans LE REPUBLICAIN du jeudi 15 janvier.
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