correspondant agoravox

vendredi 3 octobre 2014

Ambiance GRAND SIECLE dans le parc du château de SAINT-JEAN de BEAUREGARD pour les Journées du Patrimoine.

A l'occasion de mes reportages pour le Républicain de l'Essonne, je collecte des images : témoignage complémentaire ou photos - souvenirs pour qui veut.

Les 20 et 21 septembre , pour les Journées du Patrimoine, le domaine du château de Saint-Jean de Beauregard ne pouvait qu'attirer les amateurs , car ses atouts sont nombreux pour la circonstance . On pense d'abord à son joli château du XVIIe , construit en 1612 pour François Dupoux , conseiller du Roi , à la place des ruines de l'ancien château de Montfaucon . Au château s'ajoute un bel ensemble qui a été préservé , comportant d'élégantes dépendances et un colombier de 4500 boulins , le plus grand d'Ile de France . Enfin , le  potager , qui se partage entre plantations florales constamment renouvelées et  production de légumes comme de fruits , est reconnu comme " Jardin remarquable" , et comme le reste du domaine classé aux Monuments historiques . « Il a gardé un dessin typique des potagers du XVIIe siècle , en 4 carrés eux-mêmes divisés en 4 pour permettre l'assolement sur 4 ans » explique Mme de Curel , la propriétaire.Visites libres ou guidées, et, le dimanche , " ambiance XVIIe "  avec figurants en costumes et musique de Lully diffusée dans le parc étaient au menu.

                                                           DES IMAGES :

 
Visite guidée dans le parc du château.


    Ambiance GRAND SIECLE dans le parc avec musique de Lully en accompagnement sonore.


                                          Une conversation d'un autre siècle devant le château.



Jenny (au centre) qui guide parfois au château , était venue costumée avec ses ami(e)s de la compagnie LE BAL de VERSAILLES.

                              
                                                    Il y avait aussi un fier mousquetaire...

              UN PETIT TOUR AU JARDIN ... version automnale.









  * Voir aussi notre article dans Le Républicain du jeudi 25 septembre.


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